IL est couramment admis dans le monde des affaires, et particulièrement au sein des grosses entreprises, qu’un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès: un procès étant toujours couteux en terme d’argent et d’image. A l’évidence, les actionnaires d’ECOBANK n’ont pas su faire sien de cette maxime, et ont préféré agir comme le ferait le propriétaire d’une banale PME africaine dans un conflit l’opposant à son manager.
L’action de Thierry Tanoh est juste un moyen de pression pour pouvoir négocier en position de force vis a vis de son ex employeur. Espérons tout de même qu’ECOBANK n’attendra pas que cette saisie soit effective avant d’entamer les négociations.
Par : gourougp
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